La sécurité sociale ne peut couvrir qu’une partie des frais médicaux qui peuvent être encourus pendant les études, mais n’est pas en mesure de les rembourser en intégralité. C'est là que la mutuelle complémentaire intervient. Celle-ci se charge de la partie complémentaire. De ce fait, la mutuelle conduit à une meilleure prise en charge de soins médicaux, même les plus chers.
Généralités sur la mutuelle complémentaire étudiant
Il faut savoir que l’Assurance Maladie, la sécurité sociale et la Caisse Primaire d'Assurance Maladie ou CPAM représentent la même chose en matière de mutuelle santé. Suivant les cas, la CPAM peut prendre en charge une partie ou l’ensemble des frais médicaux d’un étudiant. Grâce à une mutuelle complémentaire, ce dernier peut s’assurer que les frais non remboursés par la sécurité sociale sont couverts. À la fin, les frais peuvent être intégralement pris en charge. Ainsi, il faut déduire que la souscription à une mutuelle étudiante n’est pas obligatoire, mais fortement recommandée. Pour finir, lorsqu’il s’agit d'une Assurance Maladie, la mutuelle est souvent évoquée. En revanche, en plus de l'Assurance Maladie, les étudiants peuvent contracter d'autres types d'assurance, notamment pour leurs véhicules, animaux ou logements. Si l’on considère l’assurance logement, chaque étudiant a besoin d’une résidence. Une assurance logement est capitale pour pouvoir louer un appartement ou bénéficier d’une résidence étudiante. Cette couverture permet aux étudiants de rembourser au propriétaire les dégâts qui pourraient résulter d’un accident, d’un vol ou d’autres circonstances. Quant aux autres types d’assurances, quelques-uns d’entre eux sont obligatoires. Dans tous les cas, il faut retenir qu'une mutuelle complémentaire et une ou de nombreuses assurances peuvent être parallèlement souscrites. Cliquez sur smeno.com pour des amples informations.
L’importance d’une complémentaire santé pour étudiant
La complémentaire santé couvre la part non remboursée par la Caisse Primaire d'Assurance Maladie ou CPAM. La sécurité sociale ne rembourse pas la totalité de frais médicaux. Si l’étudiant consulte son médecin traitant, celle-ci ne peut restituer que 70 % des charges, et 30 % chez un autre médecin généraliste. En ce qui concerne les frais d'hospitalisation, 80 % sont restitués par la sécurité sociale. Si l’étudiant fait l’objet d’une consultation auprès des auxiliaires médicaux comme les orthophonistes, les kinés ou les infirmiers, seuls 60 % des charges sont remboursés. En outre, la complémentaire santé permet notamment d'accéder aux soins dentaire et optique avec une couverture CPAM minimale. Ces atouts réussissent à persuader toujours plus d'universitaires à prendre soin d'eux. Pourtant, en 2019, 64 % des étudiants ont déclaré avoir une complémentaire santé, selon le syndicat national indépendant des mutuelles.
Les risques pouvant être encourus par un étudiant sans mutuelle
Il n’est pas possible de tout prévoir dans la vie. Ainsi, pour certains étudiants, le risque de ne pas pouvoir subvenir aux dépenses est apparent. Tant que ceux-ci ont souscrit une mutuelle etudiant, ils oublient les coûts qui restent toutefois élevés. Entre autres, si un étudiant qui a contracté une complémentaire santé s'est fracturé le tibia lors d'une chute en patinant. Les traitements qui en découlent seront longs et nécessiteront un suivi médical, c’est-à-dire des visites systématiques d’une infirmière et une rééducation. Sans mutuelle complémentaire, la part restante des frais de l'assuré s'élèvera en moyenne de quelques euros par jour durant au moins deux, voire trois mois. Mais grâce à la complémentaire santé qu’il a souscrite, il pourra bénéficier de certaines formules qui peuvent compléter ses remboursements via une offre dédiée aux besoins particuliers des étudiants. Par ailleurs, cette formule peut englober divers soins tels que le suivi nutrition, la pilule contraceptive ou encore le stop tabac. En somme, chaque étudiant se doit de souscrire une mutuelle complémentaire pour bénéficier des meilleurs soins à des tarifs abordables.